Chers cousins, je ne peux en ce jour que reformuler maladroitement les paroles de Raymonde lorsque nous avons accompagné Suzanne. Assises au bas d'un escalier, elle m'a prise doucement dans ses bras et je l'entends me dire : tu te dois de regarder vers l'avant, pour ceux qui t'entourent et que tu aimes, avec la force que t'ont donnée ceux qui ne sont plus là, obstinément, avec joie et enthousiasme. Ces paroles sont pour moi un trésor.