Chère Audray,
C'est avec une profonde tristesse que j'ai appris le décès de ta maman. Partir si jeune encore représente toujours un sentiment d'injustice.
Je me souviens de ces jours heureux à Rablay, aux Ponts-de-cé, des vacances passées au Cannet où Marcelle avait tant insisté pour prolonger le séjour d'août 1996. C'est bien loin tout ça et j'aimerais avoir de tes nouvelles...
Audrey, sache que dans ces moments douloureux, Mickaël et moi pensons bien à toi et à ton petit Esteban et que nous partageons ta peine.
Nous t'embrassons.
Danielle et Mickaël