Photo de Madame Lucienne Ghiloni

Lucienne Ghiloni

Née HALLOIN
Décédée le 17 mai 2024 à l'âge de 91 ans
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Photo de Madame Lucienne Ghiloni
Lucienne Ghiloni
Née HALLOIN
Décédée le 17 mai 2024 à l'âge de 91 ans

Cérémonie religieuse

location_on
Chapelle Ma Maison
12 Impasse Jeanne Jugan
49100 Angers
jeudi 23 mai 2024 à 10h00
groups

Message de la famille

Chère famille, chers amis,

C'est avec une grande tristesse que nous vous annonçons le décès de Lucienne survenu vendredi 17 mai 2024 à Angers. La cérémonie se déroulera le jeudi 23 mai 2024 à 10h00 à l'adresse suivante : Chapelle Ma Maison - 12 Impasse Jeanne Jugan - 49100 Angers.
Conformément aux voeux de Lucienne les fleurs et les couronnes seront remplacées par des dons en faveur des petites soeurs des pauvres.
Cet espace privé est destiné à recueillir vos condoléances ou le souvenir d’un moment passé.

Un service de plantation d’arbre hommage est disponible ici.

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Déroulé des obsèques

  • 1

    Cérémonie religieuse

    location_on
    Chapelle Ma Maison
    12 Impasse Jeanne Jugan
    49100 Angers
    Le jeudi 23 mai 2024 à 10h00
  • 2

    Crémation

    location_on
    Crématorium Corné Loire-Authion
    54 Route des Rimoux
    49800 Loire-Authion
    Le jeudi 23 mai 2024 à 11h45
  • 3

    Inhumation d'urne

    location_on
    Cimetière de l'Est
    129 Rue Larevellière
    49100 Angers
    Le jeudi 23 mai 2024 à 16h00

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Le livre hommage met à l'honneur les différents messages et photos partagés sur cet espace avec une mise en page élégante.

56 hommages ont été rendus

  • Il y a 2 mois
    Antoine Guérin

    Je t’aime ma petite mamie ♥️

    Souvenir de Madame Lucienne Ghiloni par Antoine Guérin
  • Il y a 2 mois
    Christophe Gruau

    J'ai toujours beaucoup apprécié tes parents pour leur gentillesse. Dis à ton papa que je ne l'ai pas oublié et que je pense à lui ! Christophe

  • Il y a 2 mois
    Marcereuil Jean-François

    On dit parfois qu’on n’a qu’une maman. Non, ce n’est pas vrai, on peut en avoir plusieurs. Mes fils et moi -même en sommes un exemple. Lucie était ma 2e maman depuis … 37 ans ! Elle m’a accueilli à bras ouverts, avec Jean . Ou plutôt « Monsieur Ghiloni . » Même si je n’ai jamais réussi à la tutoyer, à les tutoyer. Pour moi ce n’était ni Lucienne, ni Lucie, ni Lulu , mais « Madame Ghiloni » , ou « Grand-Ma » quand je parlais d’elle avec mes enfants. Elle m’a tellement apporté sans rien demander en échange. Sauf … une chose, « rendre sa fille heureuse ». Quand j’allais la voir elle demandait toujours des nouvelles … des autres . « Comment vont vos parents ? … Toujours sa 1ère question … Et vos enfants ( elle aussi me vous-voyait…) Ça va Félix et Léo ? « Qu’est ce qu’ils sont beaux vos garçons ! » Ca va à l’école ? Le SCO a encore gagné ? ( sauf l’année dernière…) Et la petite chatte comment elle va? -------------------------------------------------------------------------- Et chaque fois que nous allions la voir , Patricia , Cécile, moi, Félix ou Léo Son regard était tellement empli de bonheur. « Oh ça me fait tellement de plaisir de vous voir ! » Patricia , Cécile, moi, Félix ou Léo. Et Noëlle… Il y a environ 35 ans, Madame Ghiloni avait été « embauchée » pour aller la chercher à l’école avec son frère. Elle était payée pour ça. Mais depuis, c’est Noëlle qui la paie. Qui la paie en amour. Noëlle a continué à la voir. À venir la voir, chaque fois qu’elle nous rendait visite. Elle lui écrivait pour son anniversaire et lui fêtait Noël. Elle qui s’appelle justement Noëlle. Et ce prénom résonne tout particulièrement ici dans une chapelle Elle lui écrivait chaque fois qu’elle partait en vacances à n’importe quel endroit de la Terre … Elle n’a pas hésité à se déplacer quand elle a su que madame Ghiloni vivrait peut-être bientôt ses derniers moments. Malgré son emploi du temps compliqué. Et elle est là aujourd’hui, elle est arrivée en train de Paris ce matin malgré son emploi du temps toujours aussi compliqué… Merci Noëlle . Madame Ghiloni disait toujours qu’elle ne voulait pas de cadeau pour son anniversaire ou pour … Noël. « Mon plus beau cadeau c’est de vous voir ou de vous entendre. » Comme pendant le confinement. Grâce aux « nouvelles technologies » … Et oui, tout cela n’était pas possible autrefois à l’époque de ses parents… Pourquoi s’en priver ? Elle est partie entourée de ses proches . Cela faisait plusieurs semaines que je n’avais pas vu ses yeux. Lorsque Patricia ou Cécile, lui a dit que j’étais arrivé avec Léo. Elle les a ouverts… Puis nous sommes partis tous les 2, Léo et moi.. Et 30 minutes après, c’est elle qui partait. Félix ne peut pas être là aujourd’hui. Et il n’était pas joignable. Par la magie des « nouvelles technologies » . Nous avons pu lui parler ta rd hier soir. Il était effondré. Il pleurait tellement qu’on n’a pas pu se parler pendant un long instant. Et il était si triste de se rendre compte qu’il ne la verrait plus jamais. Et qu’il ne serait pas présent avec nous ce matin … Je me souviens des mots d’Antoine… Le fils de Christine et Guillaume à la sépulture de « Nono », les remerciant de l’avoir hébergé. Cela m’avait beaucoup ému et pas un mois ne passe depuis ce jour sans que je n’y pense … Moi aussi je vous dis merci Lucie , merci pour tous ces moments si agréables passés avec vous, chez vous, ou chez nous . Quand j’étais au lycée , j’avais eu un devoir de philo dont le titre était « Exister est-ce seulement vivre ? » J’avais répondu , entre autre , … exister c’est laisser une trace. Si vous partez et qu’on ne parle plus de vous … à quoi bon ? Lucie a existé, existe, existera toujours pour moi et pour …toujours. On pourra en parler au passé si on veut, mais elle sera toujours dans notre présent. Elle ne s’éteindra jamais. Au revoir madame Ghiloni . Merci , merci, pour tout . Merci , ça rime avec Lucie. Quelques heures après son départ … La ville d’Angers a organisé un feu d’artifice . La ville était en liesse. On remonte en Ligue 1. Mais , peut-être que pour 1 an …. Et Lucie, le jour de ses 72 ans de mariage. Ce jour-là. Lucie , elle, monte et ça rime aussi avec Lucie , Elle monte , elle qui était croyante , je sais qu’elle monte pour toujours… au Paradis … qui rime avec Lucie.

  • Il y a 2 mois
    Nicole Bineau

    Papy Li... Je partage votre douleur... Perdre un être cher est une grande épreuve... Je partage avec Antoine son chagrin d avoir perdu sa Mamie qui représentait beaucoup pour lui... Il lui a donné ainsi qu'à vous Papy, deux charmants arrières petits-fils Axel et Paco... J aurais une pensée pour tous. Mamie, Dieu garde son âme, elle repose en paix et va veiller sur ceux qu elle aime. Sincères condoléances. Nicole, belle mère d Antoine.

  • Il y a 2 mois
    Anne-Laure Guérin

    Cet hommage n'est visible que par la famille

    Il y a 2 mois
    La famille de Lucienne
    La famille a répondu à cet hommage
  • Il y a 2 mois
    Christine bois

    Il y a 2 mois
    La famille de Lucienne
    La famille a répondu à cet hommage
  • Il y a 2 mois
    Jacqueline Farache

    Lucie Un bien joli prénom, indémodable, qui lui allait comme un gant: lumière, douceur, écoute, dévouement, discrétion. Lucie est entrée dans nos vies accompagnée de Jean et Cécile en plein été, en pleine vacances que Gérard rêvait de passer en Alsace, région dont je n’avais aucune idée. Nous avions donc tous ensemble, d’Angers en région parisienne, jeté notre dévolu sur Andlau, un village charmant situé sur la route des vins, vallonnée de vignes et traversé par un cours d’eau qui dévalait du Hohwald, perché à 600 mètres d’altitude. Nous logions dans un endroit dont nous n’aurions même pas rêvé. Il s’agissait d’un ancien solarium pour enfants qui comprenait les logements des personnels rénovés : deux maisons indépendantes dos à dos, et un petit bâtiment abritant deux ou trois autres familles vacancières. On pénétrait dans ce petit paradis par un chemin ombragé où courait sur le côté comme une sorte de torrent assagi pour déboucher sur l’imposante et cossue maison habitée par les propriétaires, prolongée d’un jardin potager et fleuri. L’ensemble était bordé d’une part par la forêt et d’autre part par des prés qui menaient au village tout proche. Un lieu privé, idéal de tranquillité verdoyante. Les propriétaires, elle alsacienne, médaille de la Résistance, lui, breton égaré par amour, vivaient avec Gaston, résistant lui-même, l’homme de confiance, et Paul, le jardinier. Nos logeurs avaient institué un apéritif d’accueil pour réunir les vacanciers, propre à favoriser l’approche des uns et des autres tout en donnant les consignes d’organisation indispensables de notre lieu de séjour. C’est ainsi que nous avons fait connaissance avec Lucie, Jean et Cécile avec lesquels nous avons tout de suite sympathisé. Balades, apéritifs au blanc d’Alsace, fous rires au restaurant, confidences sur nos vies, tous les ingrédients de l’amitié s’aggloméraient pour nous rapprocher. Nos enfants adolescents s’entendaient à merveille. Lucie était une femme très attentive aux autres. Gérard était alors dévoré par la passion du vélo et partait chaque jour faire sa provision de kilomètres et découvrir son nouvel environnement. Au retour, c’était la maison des Ghiloni qui se présentait en premier. Il était hélé alors par Lucie qui lui proposait une bière pour une pause du cycliste bien méritée. Heureux de cette invitation, il lui fallait alors raconter les détails de son périple, Lucie était une personne dont la curiosité était toujours en éveil. Un jour Lucie, impressionnée par ses performances posa une question quasi métaphysique à Gérard qui n’allait plus l’oublier tellement elle l’a troublé. - Mais enfin Gérard, pourquoi faites-vous tant de kms, d’efforts presque surhumains, est-ce vous avez quelque chose à vous faire pardonner, quelque chose à expier ? Interloqué, il n’avait pas cette idée en tête, toutefois avec cette question formulée par Lucie, le mystère de cette quasi addiction à ce sport, ce dépassement de soi manifeste et continu, interrogea longtemps Gérard. Lucie, que nous savions profondément croyante, recherchait dans le domaine qui était le sien une réponse logique à tant d’acharnement physique qui pouvait aller jusqu’à une souffrance auto-infligée. Lucie cherchait des explications à un phénomène qui lui paraissait surprenant. Lucie était accueillante, très tolérante, femme de paix, partisante de la concorde entre les humains. En tout cas, c’est ainsi qu’elle restera dans nos cœurs à Gérard et moi-même. J’ai conservé deux cartes dessinées et peintes par Jean, son talentueux mari, mais écrites par Lucie: l’une présente une rue pittoresque d’Angers avec une tour de maison au toit monté en chapeau d’ardoise pointu, du plus bel effet, l’autre un joli moulin perché sur un promontoire, carte illustrée à l’avant par un sobre bouquet, épis de blé et fleurs rouges, touche de bleu, devançant des vignes parfaitement alignées, Jean est un artiste. Au dos, je peux lire la formule propre à Lucie pour nous saluer: « Bonjour petits amis » et, « faisons confiance à la providence tout en pensant qu’elle nous oublie parfois. La vie est ce qu’elle est. Vivons-la comme telle. Tant de questions restent sans réponse ». C’est tout Lucie, fidèle au questionnement adressé à Gérard, percer les mystères qui refusent de se révéler à notre compréhension humaine. La vie réserve à chacun ses bonheurs, ses joies, ses déceptions et ses chagrins. Lucie aura vaillamment parcouru son chemin de vie, qu’elle repose en paix et dans le souvenir que chacun gardera de ce qu’elle nous a offert d’authentique et de sincère, deux qualités essentielles de Lucie. Jacqueline & Gérard Samedi 18 mai 2024

  • Il y a 2 mois
    Patricia Ghiloni

    Maman, Je t'aime d'un Amour inconditionnel. Je sais que tu n'es pas loin mais tu me manques déjà au-delà de tous les mots Ta grande fille qui t'aime.

  • Il y a 2 mois
    Fabienne SERVANT

    LES YEUX. Sully Prudhomme. Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux, Des yeux sans nombre ont vu l’aurore ; Et dorment au fond d’un tombeau Et le soleil se lève encore. Les nuits plus douces que les jours Ont enchantés des yeux sans nombre ; Les étoiles brillent toujours Et les yeux se sont remplis d’ombre. Oh ! Qu’ils aient perdu le regard, Non, non, cela n’est pas possible ! Ils se sont tournés quelque part Vers ce que l’on nomme l’invisible. Et comme les astres penchants Nous quittent mais au ciel demeurent, Les prunelles ont leurs couchants, Mais il n’est pas vrai qu’elles meurent. Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux, Ouverts à quelque immense aurore, De l’autre côté des tombeaux Les yeux qu’on ferme, voient encore.

  • Il y a 2 mois
    Fabienne SERVANT

    Jean, Cécile, Véronique, Patricia, Je suis tellement désolée pour vous tous. Je sais comme la douleur est intense. Quelque soit notre histoire, le départ d’une mère, c'est l'un de nos piliers qui se dérobe, et çà fait mal. Rien ne peut aujourd'hui estomper ce chagrin, mais Lulu est libre. Dans ces épreuves bouleversantes, notre énergie et notre moral sont au plus bas, mais la mort n’est ni la cessation de l’amour, ni celle du lien. Nos larmes en sont la traduction. Je vous envoie beaucoup de courage pour affronter cette épreuve, réussir à vous relever, continuer votre route... Profitez de chaque câlin offert, même à distance, chaque moment que vous allez partager en famille... Prenez soin de vous, prenez soin les uns des autres. Je vous embrasse bien fort, de tout cœur à vos côtés. Fabienne

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Prévenir les proches

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